L'horizon disparait au loin derriere cette masse

L'horizon disparait au loin derriere cette masse d'acier et de beton. Plus personne dans les rues, seul erre les loups, ils hantent la ville, mes pensés aussi. Les lumieres du progrés  ont tout anéantis, laissant les bêtes dévorer leur proie. La police mene la chasse de toute part, la mort monte des sous sol, la puanteur aussi, les amas de cadavres en putréfaction devienne une décoration de plus. Aucune pitié envers les rebelles, plus de musique plus de jeunesse plus de pensées, les machines seul, leur rendement seul, leur cout seul, c'est tout ce qui subsiste dans nos esprit. Au loin quelque cris humain? bestials? Puis plus rien, la nuit, la fumé encore, la police toujours, les hommes sont morts, les bêtes arrivent. Un immense trou béant s'est creusé tout y tombe et tout y tombera plongeant dans un abime ténébreux dont on ne serait predire l'avenir. La rage! tout ce qui reste! La haine! Plus de peur, plus de sueur, seulement l'envie de tuer, de se venger, de quel cheminé dépend mon avenir??? Quel fumé me tuera, qui me surveillera qui me controlera????? Un dernier verre et puis je rentre, un dernier verre avant de tomber? les controleur m'entourent encore quelque seconde d'humanité, encore un peu de vie dans mes yeux encore le pouvoir, la liberté de me soumettre..........